L’étalement urbain est la cause de nombreux problèmes environnementaux. D’abord il occasionne une perte d’habitat pour la flore et la faune et une perte d’espaces agricoles.
L’artificialisation des sols amplifie les phénomènes climatiques – augmentation des températures locales, inondations.
Indirectement les émissions de C02 augmentent du fait de l’éloignement de plus en plus important entre les nouvelles zones urbanisées et les centres urbains.
Il est impératif de freiner cet étalement notamment en sacralisant les espaces agricoles et naturels. Les limites des zones urbaines doivent être arrêtées légalement et tout nouvel agrandissement interdit est sanctionné.
Liliya Ilieva, architecte
Oui halte à la disparition des terres agricoles et naturelles ! Il y a encore dans notre pays d’énormes gisements de foncier prêts à être reinvestits : logements vacants, zones d ‘activité vides, friches urbaines, lotissements distendus. Au lieu d’exploiter ces espaces on continue d’inscrire dans les PLU des transformations de terres agricoles en « terre à batir ». On a assez gâché, prenons le temps de réfléchir à d’autres modes de developpement.
La proposition d’interdire toute nouvelle construction en zone agricole ou naturelle est un peu radicale mais elle a le mérite de la clarté ! Oui sacralisons ces terres !
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Je soutiens cette proposition
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Il s’agit de limiter l’imperméabilisation des sols à l’échelle des PLU et non des parcelles : l’intégration des mesures en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique doit être intégré aux PLU et PLU Intercommunaux en association avec des agences pour la qualité environnementale.
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