Pour limiter au maximum les déplacements et lutter contre le gaspillage d’espaces naturels, modifier le schémas d’aménagement du territoire en incitant par la loi, les opérateurs à construire en fonction des réseaux de circulation, autour des accès d’autoroutes, des gares ferroviaires et des ports fluviaux pour les activités non sensibles aux temps de transport. Il va de soit que ces aménagements doivent intégrer un réel effort paysager.
Inciter par la loi, dans toutes les villes importantes traversées par des autoroutes, le développement de constructions au-dessus des emprises
de voies, bureaux, équipements, commerces, silos de stationnement, éventuellement logements si vue agréable sur la ville… La réalisation d’un sol artificiel « aérien » permettra :
– de retrouver du foncier en centre urbain ou à proximité
– de réduire les déplacements entre point d’arrivée et service ou équipement de destination
– d’embellir la ville par « l’emballage » des voies routières et leurs flots de véhicules
– de favoriser la création d’un pôle industriel nouveau, spécialisé dans le recouvrement des réseaux de circulation, idée porteuse si l’on pense aux km de voies très normalisées présentes sur le territoire mais aussi hors frontières, façon aussi de redévelopper les filières industrielles de l’acier et des panneaux dérivés du bois (contreplaqués, lamibois…).
AST