L’atomisation du territoire mise sur les mobilités individuelles pour faire le lien entre les fonctions dispersées.
Or, cela se traduit par un énorme gaspillage de ressources (terrains, matériaux) et d’énergie, une dégradation de l’environnement (pollutions, nuisances, destructions de terres cultivables et de biotopes), assorti d’un coût croissant, d’une perte de temps (bouchons) et d’une mise en danger (risque d’accident) pour tous les usagers.
Ainsi, une réflexion de fond sur cette organisation de nos territoires et ses conséquences pourrait-elle permettre de mieux traiter, en une fois et à la source, certains problèmes liés…?
Claden Rémy