Dans la lignée d’un taux de TVA de 10% si un(e) architecte est missionné(e) pour un projet, les taux d’emprunt bancaire devraient être plus avantageux si un architecte est en charge du projet.

Les architectes participent au grand débat national. Citoyens et professionnels du cadre de vie, partagez vos expériences et vos propositions !
Dans la lignée d’un taux de TVA de 10% si un(e) architecte est missionné(e) pour un projet, les taux d’emprunt bancaire devraient être plus avantageux si un architecte est en charge du projet.
Les prix de l’immobilier ont été multipliés par 2,5 en France et par 3 en ile de France depuis 20 ans. Les loyers ont doublé
lors des concours de marchés publics, privilégier les candidatures locales des architectes ainsi que des entreprises. supprimer les références demandées dans le type de bâtiment,
10 pages pour un ravalement!! Pages dans lesquelles on trouve de tout ! Pourquoi pas des imprimés spécifique en fonction des projets Un formulaire pour
1/ Pour rompre l’isolement, favoriser les liens intergénérationnels et une réelle mixité sociale, il est important de soutenir les projets d’habitat groupé conçu autour d’une charte commune.
Aujourd’hui les français ont envie d’architecte et d’architecture il faut que nous accompagnons cela. Cette démarche devrait être amplifiée avec un taux de tva à 10.00% pour l’ensemble des travaux et des honoraires lorsque l’on fait appel à un architecte pour son projet aussi bien en rénovation qu’en neuf (pour une mission complète).
Quelle bonne échelle pour délivrer les autorisations d’urbanisme ?
Celle de l’architecte, citoyen à qui l’Etat a délivré un diplôme.
Pas une journée ne se passe sans que la presse se fasse l’écho de notre incapacité collective à tenir nos engagements en matière de rénovation énergétique, et donc de lutte contre le réchauffement climatique. Encore récemment, François de Rugy s’agaçait dans La Tribune du « fiasco de la rénovation énergétique des logements. »
Dans une interview à l’agence de presse Newstank, le 28 janvier 2019,
Pierre Jarlier, maire de Saint-Flour (Cantal), président délégué de l’APVF, a indiqué souhaiter « qu’au terme du grand débat national soit organisé un Grenelle des territoires qui permettra d’échanger avec les corps intermédiaires, les forces vives sur les contributions et les propositions concrètes ».
« Cela ne vaut pas le coup de la réparer, ça va vous coûter autant qu’une neuve ». Ce genre de discours s’est généralisé, dans le bâtiment comme partout, qu’il s’agisse d’une chaudière, d’une toiture ou de presque n’importe quoi.
Très simplement, il est temps d’interdire la publicité et la propagande en faveur de tout ce qui réchauffe le climat de manière importante et indiscutable, contribuant à entraîner des pertes humaines pouvant être évitées par des alternatives existantes et accessibles.
L’Etat accorde plusieurs aides publiques pour encourager les particuliers à réaliser des travaux de rénovation énergique. L’obtention des aides publiques est généralement conditionnée à la réalisation des travaux par des professionnels qualifiés RGE (Reconnu Garant de l’Environnement).
Selon les chiffres de l’INSEE, les logements construits avant 1975 représentent environ 60% du parc des résidences principales. C’est dire le besoin immense de rénovation, tout particulièrement pour les logements réalisés pendant la période des trente glorieuses avec les premières techniques industrielles et avant la mise en place d’une réglementation thermique.
Interview de l’architecte Philippe Madec dans Le Moniteur du 24 janvier.
Rétrospective – En 2006, Cristina Conrad architecte, alors présidente de l’ordre régional des architectes d’Ile-de-France, défendait dans une interview au journal Libération la rénovation des grands ensembles contre la multiplication des lotissements pavillonnaires ségrégatifs et sans âme. Elle plaidait pour une autre politique de l’habitat, plus patrimoniale et plus durable.
Nicola Delon, architecte cofondateur du collectif Encore Heureux, était invité de France Inter vendredi 4 janvier : »Il faut de la réversibilité dans les bâtiments, car la société change plus vite que les bâtiments ».